Des auteurs ont demandé à des locuteurs du telugu, une langue moraïque, de détecter ma et man dans les mots manishi et mandu. Ils observent les taux d’erreurs illustrés ci-dessous. Laquelle des conclusions suivantes est valide ?

Dans une tâche de word spotting avec des participants francophones, on compare les temps de détection du mot porte dans la séquence (1) une porte rouillée aux temps dans la séquence (2) une porte fermée. Dans quelle condition seront-ils plus rapides ? 

 Comment démontrer expérimentalement que les locuteurs du français exploitent leur connaissance des régularités phonotactiques pour découper le signal? 

Indice : utilisez la technique de détection de mot dans une séquence. 

Voici le graphe des résultats. Que peut-on conclure ?

Si les locuteurs japonais découpent le signal en mores, que s’attend-on à observer?

Voici le graphe des résultats. Que peut-on conclure ?

Si les locuteurs japonais découpent le signal en syllabes, comme les francophones, que s’attend-on à observer?

Combien de syllabes et de mores les mots tanshi et tanishi contiennent-ils ?

Quelles sont les variables de cette expérience ?

Si les locuteurs francophones utilisent la syllabe comme indice de frontière de mots, que s’attend-on à observer, et pourquoi ? Dessinez sur un papier le graphe attendu.