De remplacer les tests de QI par des tests de mémoire de travail.

D'administrer des tests de QI et des tests de mémoire de travail.

De remplacer les tests de mémoire de travail par des tests de QI.

De ne pas administrer de tests de QI ni de tests de mémoire de travail.

L'intelligence fluide est un meilleur prédicteur du multitasking que la mémoire de travail.

La mémoire de travail et l'intelligence fluide ne sont pas liées au multitasking.

La mémoire de travail et l'intelligence fluide contribuent de manière égale au multitasking.

La mémoire de travail est un meilleur prédicteur du multitasking que l'intelligence fluide.

Pour se conformer aux normes et pratiques usuelles en psychologie cognitive.

Car c’était nécessaire pour faire les modèles d’équation structurelle

Pour réduire la variance intra-sujet vis-à-vis de leur performance de multitasking.

Pour améliorer la généralisabilité des résultats.

Elle a fourni des preuves de l’existence d’une capacité de multitasking générale et a identifié ses principaux prédicteurs cognitifs.

Elle a établi une relation causale entre la mémoire de travail et le multitasking.

Elle a démontré que les jeux vidéo, notamment ceux améliorant l’attention, améliorent les capacités de multitasking.

Elle a identifié les régions cérébrales spécifiques impliquées dans le multitasking.

En éliminant tous les distracteurs de l'environnement.

En administrant des médicaments pour l'ADHD à tous.

En augmentant la charge perceptive des tâches pour minimiser la distraction.

En encourageant les personnes à ignorer les distracteurs.

Elle permet de contrôler l'influence de la charge cognitive sur la distraction.

Elle permet de mesurer l'impact de la familiarité du distracteur sur la distraction.

Elle permet de distinguer la distraction par des stimuli pertinents et non pertinents pour la tâche.

Elle permet de comparer la distraction visuelle et auditive.

Cela suggère que la distractibilité est un problème uniquement pour les personnes ayant un diagnostic d'ADHD.

Cela suggère que la distractibilité n'a aucune implication pratique.

Cela suggère que la distractibilité est un trait stable et immuable.

Cela suggère que la distractibilité peut affecter la performance de chacun dans la vie quotidienne, et pas seulement les personnes ayant un trouble de l'attention.

En utilisant l'électroencéphalographie (EEG).

En utilisant des questionnaires d'auto-évaluation.

En observant le comportement des participants.

En mesurant le temps de réaction (RT) et le taux d'erreur.

Déterminer que les images de dessins animés sont plus distrayantes que les noms compatibles/incompatibles.   

Déterminer que la charge perceptive n'a aucun effet sur la distraction.   

Déterminer si les personnes (dans une population non-clinique) avec des traits d'ADHD plus fort sont plus susceptibles d'être distraites par des stimuli non pertinents.   

Déterminer qu'il n'existe pas de trait d'attention-distractibilité dans la population générale.   

La charge perceptive diminue la distraction, ce qui soutient la théorie de la charge perceptive.

La charge perceptive augmente la distraction pour les personnes ayant des symptômes d'ADHD élevés, mais la diminue pour les autres.

La charge perceptive n'a aucun effet sur la distraction, ce qui contredit la théorie de la charge perceptive.

La charge perceptive augmente la distraction, ce qui contredit la théorie de la charge perceptive.