Réguler la masse monétaire et ajuster les taux d’intérêt pour stabiliser l’économie.

Moduler les dépenses de l’État (G) et les recettes fiscales (T) afin d’influer sur la demande globale.

Manipuler les taux de change pour accroître la compétitivité à l’export.

Soumettre l’investissement privé à un contrôle strict pour restreindre la profitabilité des entreprises.

Le maintien inaltéré des méthodes de production, garantissant l’absence d’innovation.

L’imposition de contrôles des prix par l’État, ce qui limite la prise de risque des entrepreneurs.

L’apparition de produits, procédés, marchés, ressources et formes d’organisation inédits, perturbant l’équilibre économique existant.

Le recours exclusif à des politiques monétaires de court terme pour gérer l’inflation et le chômage.

 Ce sont des chaînes d’approvisionnement locales concentrées dans une seule zone géographique, exerçant un impact minime sur le commerce international.

Il s’agit de réseaux de production et de distribution transfrontaliers imposant aux décideurs de prendre en compte les interdépendances en matière d’approvisionnement et de droits de douane.

Elles ne couvrent que la fabrication de produits de base, excluant toute technologie avancée.

Elles constituent des programmes publics visant à prioriser les exportations pour le marché domestique.

Les économistes classiques estimaient que les récessions se corrigeaient d’elles-mêmes rapidement via des ajustements de salaires et de prix, mais la Grande Dépression, à la fois longue et sévère, a montré que les marchés ne se rétablissent pas toujours spontanément.

Les économistes classiques préconisaient déjà une forte hausse des dépenses publiques en période de récession, et la Grande Dépression a pleinement validé cette idée.

Les économistes classiques ignoraient totalement la possibilité de récession, et la Grande Dépression n’a pas affecté leur point de vue.

Les économistes classiques admettaient que les récessions étaient inévitables mais considéraient qu’une intervention monétaire permanente de la banque centrale était nécessaire pour maintenir l’emploi.

Le réaménagement interne des ressources dans une entreprise afin de réduire les coûts de production.

Une hausse ponctuelle de la demande des consommateurs qui n’indique pas forcément une évolution structurelle.

Une augmentation de la capacité d’une économie à produire des biens et services au fil du temps, mesurée en valeurs nominales ou réelles.

Une élévation continue des recettes fiscales collectées par l’État au cours des phases d’expansion.

Examiner l’effet des opérations d’open market sur la masse monétaire globale du système bancaire.

Analyser comment les décisions gouvernementales en matière de tranches d’imposition influencent la consommation et l’investissement à l’échelle nationale.

Étudier la manière dont une entreprise détermine son niveau de production et fixe ses prix en tenant compte de la demande et des coûts de production.

Observer comment les fluctuations de taux de change affectent la balance commerciale et la croissance économique au niveau international.

Elles génèrent invariablement un gain net pour les producteurs locaux et les consommateurs, avec un impact très limité sur le commerce.

Elles peuvent protéger les producteurs nationaux de la concurrence étrangère en augmentant les coûts ou en limitant les volumes d’importation, mais risquent de provoquer des représailles commerciales et d’élever les prix pour les consommateurs.

Elles encouragent le libre-échange en supprimant les barrières gouvernementales, stimulant ainsi concurrence et innovation.

Elles n’exercent aucun effet notable sur la performance économique d’un pays, puisque les marchés locaux ne réagissent pas aux restrictions à l’importation.

Les dépenses publiques (G) dépassent les recettes fiscales (T).

Les dépenses publiques (G) sont égales aux recettes fiscales (T).

Les recettes fiscales (T) sont supérieures aux dépenses publiques (G).

Les dépenses publiques (G) et les recettes fiscales (T) sont définies sans lien avec la conjoncture économique.

Une baisse immédiate des taux obligataires, reflétant une grande confiance dans les politiques publiques.

Un accroissement de la capacité à gérer de futures crises grâce à une marge de manœuvre budgétaire accrue.

Un accroissement de la dette publique, potentiellement à l’origine de taux d’intérêt plus élevés et d’une flexibilité gouvernementale réduite pour faire face aux difficultés économiques ultérieures.

Une stabilisation des marchés financiers, étant donné que les dépenses publiques supplémentaires renforcent constamment la confiance des investisseurs.

Expansion → Creux → Pic → Contraction

Creux → Expansion → Contraction → Pic

Expansion → Pic → Contraction → Creux

Contraction → Expansion → Pic → Creux