Laisser les forces du marché résoudre d’elles-mêmes les déséquilibres économiques.

Adopter une politique monétaire strictement restrictive pour lutter contre l’inflation.

Mettre en œuvre un stimulus budgétaire (augmentation des dépenses publiques ou baisse des impôts) afin de stimuler la demande globale.

Recourir à un contrôle direct des salaires et des prix pour encadrer les coûts dans le secteur privé.

Uniquement la quantité de monnaie liquide en circulation dans un pays à un instant donné.

L’ensemble des actifs réels et financiers détenus par les ménages, les entreprises et l’État, en tenant compte de leur potentiel de croissance futur.

Un recensement des entreprises nationales les plus importantes, classées par leur capitalisation boursière.

. Uniquement la somme des portefeuilles détenus par les multinationales.

Ils accroissent les coûts des produits importés, répercutés sur les prix de détail, renforçant ainsi la pression inflationniste.

Ils déplacent la demande vers les biens produits localement, ce qui diminue la pression inflationniste.

Ils réduisent les coûts de production au niveau global, freinant l’augmentation des prix.

Ils influent uniquement sur la balance commerciale, sans effet notable sur les prix intérieurs.

Un processus étatique visant à réguler et stabiliser l’offre de monnaie et les taux d’intérêt pour atteindre des objectifs économiques spécifiques.

Un mécanisme exclusivement axé sur la fixation des taux d’imposition afin de financer les dépenses publiques.

Une approche consistant à restreindre l’octroi de prêts aux ménages et aux entreprises pour freiner l’activité privée.

Une reconfiguration délibérée des accords commerciaux internationaux pour influer sur les taux de change.

En influençant les décisions d’épargne et de crédit des agents économiques, et donc le volume de la consommation totale.

En déterminant de manière définitive le niveau de chômage, indépendamment de toute fluctuation du marché.

En imposant des limites strictes aux investissements privés dans tous les secteurs.

En rendant superflu tout rôle de l’État dans la régulation du commerce mondial.

Elle garantit que les décisions relatives aux taux d’intérêt et à la masse monétaire visent la stabilité des prix à long terme, à l’abri de considérations politiques immédiates.

Elle permet aux gouvernants de dicter directement les taux d’intérêt afin de servir des objectifs électoraux immédiats.

Elle se limite à des objectifs de court terme et à des interventions de marché fréquentes.

Elle assure la mise en place automatique de coupes budgétaires en cas de dépassement d’un seuil d’inflation prédéfini.

Le protectionnisme promeut l’investissement non régulé et la libéralisation totale du commerce.

Le protectionnisme implique de freiner les importations via des droits de douane et des quotas, tandis que la mondialisation favorise la libre circulation des échanges.

Le protectionnisme garantit toujours aux industries locales de tirer profit des accords de libre-échange.

Le protectionnisme cherche à intégrer les économies des pays développés et en développement sans imposer aucune barrière commerciale.

Analyser les stratégies de décision des consommateurs à l’échelle individuelle dans divers segments de marché.

Étudier les indicateurs économiques globaux (revenu national, niveau général des prix, taux d’emploi) afin de comprendre l’évolution macroéconomique.

Examiner les stratégies de fixation des prix d’entreprises spécifiques dans des marchés proposant des produits similaires.

Mettre en évidence des comportements atypiques des consommateurs par le biais d’études expérimentales.

Un pays doit produire les biens qu’il peut fabriquer à un coût inférieur à celui des autres pays, afin d’en tirer un bénéfice optimal.

Un pays doit produire l’ensemble des biens existants, sans tenir compte de son efficacité.

Un pays dépourvu d’avantage absolu est automatiquement exclu du commerce mondial.

Un pays doit imposer des droits de douane sur l’ensemble des produits importés pour préserver ses industries nationales.

Un processus figé, initié au XIXe siècle, n’ayant plus connu d’évolution depuis

Un phénomène d’interconnexion croissante des économies nationales à travers plusieurs étapes historiques, marqué par les progrès technologiques, les politiques commerciales et les investissements transfrontaliers.

Un concept limité au seul échange culturel via les médias populaires, sans impact tangible sur les échanges commerciaux internationaux.

Un mouvement isolationniste visant à réduire globalement le commerce en vue de protéger les industries locales.