Elle est rarement associée à d’autres symptômes (fatigue, troubles du sommeil…)

C’est un « coup de blues » qui passe en quelques jours.

Des perturbations de l’humeur pendant au moins 2 semaines.

La personne continue ses activités habituelles sans perturbations particulières.

La douleur est un schéma qui s’apprend à travers les expériences de la vie.

La douleur est une expérience personnelle qui est uniquement influencée par des facteurs psychologiques.

La douleur est toujours due à des lésions.

La description verbale n’est pas le seul comportement permettant d’exprimer la douleur.

L’anxiété se traduit par de l’inquiétude face à une situation perçue comme une menace pouvant s’accompagner de réactions psychologiques et physiologiques.

L’anxiété devient pathologique quand elle se répète et s’installe dans la durée sans lien avec une menace réelle tout en perturbant significativement les activités quotidiennes.

Les phobies ne font pas partie des troubles anxieux.

L’anxiété de trait est toujours pathologique.

Aucun mécanisme physiologique n’est impliqué dans la réduction de l’anxiété.

Par des mécanismes physiologiques libérant des neurotransmetteurs qui peuvent améliorer l’anxiété.

Par des mécanismes psychologiques comme la distraction favorisant la diminution de l’anxiété.

Par des mécanismes psychologiques comme la surcompensation favorisant le bien-être mental.

C’est une cause majeure de handicap (ou d'invalidité).

Le covid semble avoir favorisé la dépression chez les jeunes en France en 2021.

C’est un fardeau économique (arrêts maladies, pertes de productivité, hospitalisations, soins…).

La dépression est la première cause faisant baisser le taux de natalité.

Elle remplace les traitements.

Elle n’a pas d’effet bénéfique particulier à part occuper les patients pendant l'hospitalisation.

Elle peut aider à compenser les effets secondaires des traitements médicamenteux.

Elle permet de développer des stratégies actives de coping (d’adaptation).

L’APA peut influencer les mécanismes psychologiques et physiologiques composant la douleur.

L’APA peut guérir définitivement toutes les douleurs.

L’APA peut réduire les comorbidités liées à la sédentarité qui est favorisée par la douleur.

L’APA peut améliorer l’auto-efficacité et l’auto-gestion.

L’intensité de l’exercice pourrait avoir des effets différents selon l’âge des patients.

Le sport et l’activité physique peuvent avoir un effet positif sur la dépression en passant par l'amélioration de l'estime de soi.

L’activité physique réduit la dépression uniquement par des changements biologiques.

L’activité physique peut avoir un effet positif sur la dépression en améliorant le sentiment d’efficacité personnelle.

La durée des programmes n’est pas importante pour avoir un effet sur l’anxiété de trait.

Des analyses biomécaniques précises devraient être réalisées avant chaque début de programme.

Les activités physiques aérobies/cardiovasculaires semblent les plus efficaces pour lutter contre l’anxiété.

Les séances devraient durer 20 minutes minimum, peu importe le type d’anxiété.

Entraîner une grande fatigue

Entraver la pratique d’activité physique

Toutes les réponses sont justes.

Perturber les niveaux ou le fonctionnement de neurotransmetteurs dans le cerveau