D’excellents généralisateurs d’imitation, mais dépourvus d’intelligence et de raisonnement inférentiel.

 Des systèmes qui intègrent des processus cognitifs et inférentiels de haut niveau similaires à ceux des humains.

Des systèmes qui présentent un taux d’erreur inférieur à celui des humains.

Des systèmes identiques aux humains en termes de traitement de la parole dans le bruit.

Une amélioration générale de la précision de l’analyse acoustique

Aucun changement dans la perception des phonèmes

Une amplification du biais lexical

Une réduction de l’effet lexical

Constant, indépendamment du niveau de charge cognitive.

Négligeable, puisque l’analyse acoustique prime toujours sur le message. 

Amplifié, ce qui conduit à ce que le but communicatif du message prenne le dessus sur l’analyse acoustique véridique. 

Inexistant, car les processus descendants ne jouent aucun rôle.

La perception des phonèmes repose exclusivement sur les caractéristiques acoustiques sans influence du lexique.

La perception des phonèmes est modulée par la connaissance lexicale qui aide à combler une information acoustique ambiguë.

La connaissance lexicale n’intervient que lorsque le signal acoustique est très clair. 

Les phonèmes ambigus sont perçus de façon aléatoire. 

La familiarité d’un masque réduit son interférence, car il est mieux filtré. 

Plus un masque est familier, moins il est filtré, entraînant une interférence accrue. 

La nature sémantique du masque n’a pas d’impact sur l’interférence. 

Un masque au contenu neutre provoque plus d’interférence qu’un masqueur familier.